Bonjour chers amis,
Il y a toujours une raison, un motif, une origine à la base de toute action humaine. Et à fortiori d'une action publique!
La lecture de l'article du Soir de Belgique nous en fournit une claire illustration.
http://www.lesoir.be/actualite/monde/congo-la-conference-sur-la-2007-12-27-568625.shtml Au passage, merci à Arthur KINIALI qui m'a mis la puce à l'oreille.
Dans mon posting précédent, je vous parlais de la notion de souveraineté en RD CONGO et m'interrogeais sur la réelle justification de cette Conférence sur la paix, la sécurité et le développement dans le Kivu!
Et bien, on en découvre pas mal en lisant cet article de Colette Braeckman, lesquelles infos ne sont nullement reprises dans aucun journal de la place de Kinshasa....!
Sauf avis contraire de nos frères kinois (?)...
Notre armée a un sérieux problème de crédibilité et de confiance: 2.600 militaires tués, des butins de guerre inestimables...! Qui pourront permettre aux renégats de poursuivre leurs hostilités pendant encore bien longtemps? Et dire que les FARDC disposaient de toute la légitimité nécessaire, nationale et internationale pour mettre fin aux prétentions et visées expansionnistes des milices tutsi.
Maintenant que cette option militaire s'est lézardée, on en vient à goupiller cette piteuse sortie de crise, mais que diable n'a-t-on pas commencé par là? si tant était la conviction des initiateurs de cette conférence de réellement restaurer la paix et la sécurité puis le développement dans le Kivu?
Force est de constater hélas, le silence de l'opposition congolaise dans l'évolution de la crise à l'est, incapable de mettre à nu les incohérences du pouvoir.
Comme sur d'autres sujets, ils n'ont malheureusement rien à proposer parce que leur alliance, de circonstance..., n'a vécu que l'espace d'un moment: les élections et les prébendes éventuelles. Y a-t-il eu des réflexions au sujet de la crise à l'est pour ébaucher des solutions viables et sortir ces provinces de l'ornière?
Ces soi-disant honorables, sont pourtant en session extraordinaire au parlement où ils se rattrapent comme ils peuvent, et le peuple du Kivu qui les y a aussi délégués, n'entend pas ces messieurs se saisir de cette question épineuse pour démêler le vrai du faux dans cette sempiternelle crise de l'est. Nada de nada! Ils sont aux abonnés absents...!
C'est peut-être la trêve des confiseurs au parlement congolais, malgré la mort, la désolation dans le Masisi!!
Et pourtant cette crise concerne tout le Congo, pourquoi un tel fatalisme de la part des politiques congolais?
Enfin la capitale s'est tout de même réveillée pour organiser une journée de solidarité avec les frères et soeurs du Kivu, ponctuée par des marches et une opération de collecte de fonds au profit du Kivu, ouf! il était plus que temps....! Coup de chapeau tout de même au Gouverneur de Kinshasa. Et l'on peut espérer que d'autres provinces se réveilleront pour apporter leur soutien aux populations meurtries du Kivu.
Debout Congolais..
Unis par le sort
Unis dans l'effort pour l'indépendance
Dressons nos fronts, longtemps courbés
Et pour de bon, prenons le plus bel élan
Dans la paix.
samedi, décembre 29, 2007
vendredi, décembre 28, 2007
De la notion de souveraineté en République Démocratique du Congo
Chers amis,
Je suis estomaqué à chaque fois que je m'informe sur la situation de notre pays d'apprendre que pour une affaire interne congolaise, il y a toujours autant d'étrangers que de congolais! Cela me choque et continuera toujours à me choquer: mais ce pays-là appartient-il réellement aux congolais ou les congolais l'auraient-ils déjà cedé pour un cent à une gouvernance internationale où tous les vautours du monde entier viendraient humer l'air du temps et tirer les marrons à chaque fois qu'ils allumeraient le feu!
Rendez-vous compte: à l'Est du Congo Dém's, depuis quelques mois déjà, les FARDC, l'Armée Nationale congolaise, sont aux prises avec les rebelles du renégat Nkunda Bantwaré, le bras armé des tutsi ruandais. Et dans cette enième guerre de l'Est qui ne dit pas son nom, bien que les élections aient consacré la fin de la transition, bien que les électeurs du Nord et du Sud Kivu aient choisi leurs représentants dans la transparence, la guerre continue dans cette partie du pays de Lumumba.
Tout de suite, branle-bas de combat, mobilisation des forces militaires, rodomontades, invectives, renforts militaires, réunions des ministres des affaires étrangères des pays limitrophes, condamnations internationales contre les forces négatives, rien n'y fait! Et le pouvoir de Kinshasa de proposer un nouveau machin: "Conférence sur la paix, la sécurité et le développement des provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu"! Pas moins....!
Tout un chacun sait que sans la paix, il n'y a pas de sécurité! Et sans la sécurité, il n'y a pas de développement non plus! C'est enfoncer une porte ouverte que de baptiser ainsi l'objet d'une rencontre. Et qui est-on allé chercher pour mener les travaux de ces assises? le fameux abbée Malu-Malu qui décidement n'en démord plus de la politique! Ah l'ivresse du pouvoir....!
Non content d'avoir laissé des zones d'ombre planer dans l'organisation des présidentielles, le revoilà qui revient avec cette Conférence sur la paix, la sécurité et le développement des provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Et parmi les invités à ces assises initialement prévues, oh Maestro, du 27 décembre au 5 janvier, avant d'être repoussées au 6 janvier, on compte quasiment tous les pays étrangers de la terre qui visiblement doivent savoir dire aux congolais comment rétablir la paix et la sécurité dans cette partie de la République!
Passons sur le fait que nous sommes dans un univers globalisé, à l'ére de la mondialisation et qu'une affaire interne à un pays-continent comme le Congo Dém's peut-être gérée à un niveau supra-national; ce qui relèverait juridiquement, hélas à l'envers, du principe de la subsidiarité; lequel principe - à titre de rappel - est une maxime politique et sociale selon laquelle la responsabilité d'une action publique, lorsqu'elle est nécessaire, doit-être allouée à la plus petite entité capable de résoudre le problème d'elle-même. Et ce principe va de pair avec celui de la suppléance, qui veut que quand les problèmes excèdent les capacités d'une petite entité, l'échelon supérieur a le devoir de la soutenir, dans les limites du principe de subsidiarité.
Jusqu'à preuve du contraire, la présente constitution congolaise ne contient nullement de telles dispositions d'abandon de souveraineté et cette conférence, qui en soi, n'est pas mauvaise quant à ses objectifs, encourt le risque de voir ses décisions contestées si d'aventure, ses conclusions consacraient cet abandon de souveraineté.
A la rentrée de septembre, le pouvoir de Kinshasa tablait sur une issue militaire fort du soutien de la communauté internationale(?); avant de se raviser deux mois plus tard devant l'adversité optant pour une capitulade médiatique.
Comment pourra-t-il avaliser la monnaie de l'échange qu'il n'a pas su imposer par la force à un renégat? Et au mépris des autres tribus de l'Est congolais qui elles, malgré leurs revendications légitimes, n'ont jamais pris pour autant les armes.
La tenue de cette conférence révèle en clair que le roi est nu! Puisque après les élections c'est encore et toujours la période transitoire qui continue de plus belle, avec ses conciliabules indécrottables et ses nombreux participants, on parle de 500 à 600 personnes réunies pendant dix jours à Goma! Mais que fait le parlement congolais, lui qui réunit cent sénateurs et 500 députés??? Ils sont en session extraordinaire, en rattrapage sur le budget notamment et ils ne sont pas assez outillés pour refléchir aux problèmes du Kivu!
Dans cette immense cour qu'est devenu le Congo Dém's, chers amis, la recréation est encore loin d'être terminée, d'autant que les bons beignets pillulent.
Mais il est où MOKONO NGELE....! cet excellent préfet de discipline qui, faisant corps avec sa profession, faisait régner l'ordre et la discipline dans la célèbre cour de St Raph..., parti depuis avec son légendaire sifflet . Paix à son âme!
Autres temps, autres moeurs, me diriez-vous?
Pourvu que l'on ne s'enfonce pas dans les abimes de ces temps-ci!
Je suis estomaqué à chaque fois que je m'informe sur la situation de notre pays d'apprendre que pour une affaire interne congolaise, il y a toujours autant d'étrangers que de congolais! Cela me choque et continuera toujours à me choquer: mais ce pays-là appartient-il réellement aux congolais ou les congolais l'auraient-ils déjà cedé pour un cent à une gouvernance internationale où tous les vautours du monde entier viendraient humer l'air du temps et tirer les marrons à chaque fois qu'ils allumeraient le feu!
Rendez-vous compte: à l'Est du Congo Dém's, depuis quelques mois déjà, les FARDC, l'Armée Nationale congolaise, sont aux prises avec les rebelles du renégat Nkunda Bantwaré, le bras armé des tutsi ruandais. Et dans cette enième guerre de l'Est qui ne dit pas son nom, bien que les élections aient consacré la fin de la transition, bien que les électeurs du Nord et du Sud Kivu aient choisi leurs représentants dans la transparence, la guerre continue dans cette partie du pays de Lumumba.
Tout de suite, branle-bas de combat, mobilisation des forces militaires, rodomontades, invectives, renforts militaires, réunions des ministres des affaires étrangères des pays limitrophes, condamnations internationales contre les forces négatives, rien n'y fait! Et le pouvoir de Kinshasa de proposer un nouveau machin: "Conférence sur la paix, la sécurité et le développement des provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu"! Pas moins....!
Tout un chacun sait que sans la paix, il n'y a pas de sécurité! Et sans la sécurité, il n'y a pas de développement non plus! C'est enfoncer une porte ouverte que de baptiser ainsi l'objet d'une rencontre. Et qui est-on allé chercher pour mener les travaux de ces assises? le fameux abbée Malu-Malu qui décidement n'en démord plus de la politique! Ah l'ivresse du pouvoir....!
Non content d'avoir laissé des zones d'ombre planer dans l'organisation des présidentielles, le revoilà qui revient avec cette Conférence sur la paix, la sécurité et le développement des provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
Et parmi les invités à ces assises initialement prévues, oh Maestro, du 27 décembre au 5 janvier, avant d'être repoussées au 6 janvier, on compte quasiment tous les pays étrangers de la terre qui visiblement doivent savoir dire aux congolais comment rétablir la paix et la sécurité dans cette partie de la République!
Passons sur le fait que nous sommes dans un univers globalisé, à l'ére de la mondialisation et qu'une affaire interne à un pays-continent comme le Congo Dém's peut-être gérée à un niveau supra-national; ce qui relèverait juridiquement, hélas à l'envers, du principe de la subsidiarité; lequel principe - à titre de rappel - est une maxime politique et sociale selon laquelle la responsabilité d'une action publique, lorsqu'elle est nécessaire, doit-être allouée à la plus petite entité capable de résoudre le problème d'elle-même. Et ce principe va de pair avec celui de la suppléance, qui veut que quand les problèmes excèdent les capacités d'une petite entité, l'échelon supérieur a le devoir de la soutenir, dans les limites du principe de subsidiarité.
Jusqu'à preuve du contraire, la présente constitution congolaise ne contient nullement de telles dispositions d'abandon de souveraineté et cette conférence, qui en soi, n'est pas mauvaise quant à ses objectifs, encourt le risque de voir ses décisions contestées si d'aventure, ses conclusions consacraient cet abandon de souveraineté.
A la rentrée de septembre, le pouvoir de Kinshasa tablait sur une issue militaire fort du soutien de la communauté internationale(?); avant de se raviser deux mois plus tard devant l'adversité optant pour une capitulade médiatique.
Comment pourra-t-il avaliser la monnaie de l'échange qu'il n'a pas su imposer par la force à un renégat? Et au mépris des autres tribus de l'Est congolais qui elles, malgré leurs revendications légitimes, n'ont jamais pris pour autant les armes.
La tenue de cette conférence révèle en clair que le roi est nu! Puisque après les élections c'est encore et toujours la période transitoire qui continue de plus belle, avec ses conciliabules indécrottables et ses nombreux participants, on parle de 500 à 600 personnes réunies pendant dix jours à Goma! Mais que fait le parlement congolais, lui qui réunit cent sénateurs et 500 députés??? Ils sont en session extraordinaire, en rattrapage sur le budget notamment et ils ne sont pas assez outillés pour refléchir aux problèmes du Kivu!
Dans cette immense cour qu'est devenu le Congo Dém's, chers amis, la recréation est encore loin d'être terminée, d'autant que les bons beignets pillulent.
Mais il est où MOKONO NGELE....! cet excellent préfet de discipline qui, faisant corps avec sa profession, faisait régner l'ordre et la discipline dans la célèbre cour de St Raph..., parti depuis avec son légendaire sifflet . Paix à son âme!
Autres temps, autres moeurs, me diriez-vous?
Pourvu que l'on ne s'enfonce pas dans les abimes de ces temps-ci!
jeudi, décembre 27, 2007
"Comprenez mon émotion....!"
Chères soeurs,
Chers frères,
C'est avec beaucoup d'émotion que je vous convie à vous saisir de cet outil de communication pour partager nos tendres souvenirs bien sûr, mais aussi nos idées du moment et nos ambitions pour le futur.
Ce moment était très attendu...! Avec certains qui se reconnaîtront, du côté d'Agneau en Normandie par exemple, le Président KENZI ne cessait de pousser à la roue pour que cet espace de convivialité voit le jour. Cher Président, c'est chose faite!
Certes, avec Arthur et Dallot, nous évoquions la possibilité d'un site internet qui, hélas a pâti du manque de serveur hébergeur et malgré tout la maintenance eût été moins aisée pour différentes raisons.
La nécessité de cet espace a été relancée à la suite de la disparition d'un des nôtres, Ben MUDY en octobre dernier à Boston notamment par Bernard MALE Nyembo et la multitude des échanges que nous avions eus les uns et les autres sur divers sujets n'a fait que consolider ce besoin d'espace vital à partager.
D'aucun se demanderont pourquoi titrer "Le Raphaëlois" cet espace de partage appelé à être également partagé par de non raphaëlois...!
Chers amis, sans pour autant refaire l'histoire, nous sommes tous "nés quelque part". Je veux simplement vous dire que le Collège Saint Raphaël de Limeté d'où proviennent un certain nombre d'entre nous, a été le creuset de notre éducation à un moment clé de notre vie et qu'en conséquence quoi de plus normal que l'on puisse s'y référer.
Cependant, ce ne fut qu'une étape de notre vie et depuis nous avons eu d'autres rencontres, noué d'autres amitiés plus ou moins fortes, mais tout aussi importantes que nous drainons dans cet ancien creuset que fut Saint Raphaël. Et cela n'empêche nullement que nous nous y retrouvions tous et cultivions la convivialité légendaire qui nous caractérise tous, que l'on ait usé ses culottes et connu ses premiers amours à Saint Raphaël ou ailleurs!
C'est ici désormais que je souhaiterai voir se développer des échanges plus constructifs entre nous tous, pour un avenir meilleur et partagé, puisque tous autant que nous sommes et qu'on le veuille ou non, nous avons néanmoins un dénominateur commun: l'amour des autres; chacun l'exprimant à sa façon, d'ailleurs pas toujours la plus appropriée: la frime, la surenchère pour les uns, l'honnêteté, la sincérité pour les autres, la pugnacité, etc.
Mais au final, cela importe peu; ce qui compte, c'est que nous sachions demeurer unis comme les doigts d'une main en gardant en tête cette maxime bangala que "lisapi lyoko esukolaka nzoto té!".
Puisse cet espace de vie nous servir de café de la place où nous pourrons tous nous retrouver avec les nouvelles du jour des uns et des autres à travers le monde, et où nous rejoindrons d'autres amis nouveaux et anciens, d'autres horizons pour que la vie, notre vie soit un perpétuel renouvellement d'émerveillements.
BONNE et HEUREUSE ANNEE 2008.
Etumba BILE
le modérateur
Chers frères,
C'est avec beaucoup d'émotion que je vous convie à vous saisir de cet outil de communication pour partager nos tendres souvenirs bien sûr, mais aussi nos idées du moment et nos ambitions pour le futur.
Ce moment était très attendu...! Avec certains qui se reconnaîtront, du côté d'Agneau en Normandie par exemple, le Président KENZI ne cessait de pousser à la roue pour que cet espace de convivialité voit le jour. Cher Président, c'est chose faite!
Certes, avec Arthur et Dallot, nous évoquions la possibilité d'un site internet qui, hélas a pâti du manque de serveur hébergeur et malgré tout la maintenance eût été moins aisée pour différentes raisons.
La nécessité de cet espace a été relancée à la suite de la disparition d'un des nôtres, Ben MUDY en octobre dernier à Boston notamment par Bernard MALE Nyembo et la multitude des échanges que nous avions eus les uns et les autres sur divers sujets n'a fait que consolider ce besoin d'espace vital à partager.
D'aucun se demanderont pourquoi titrer "Le Raphaëlois" cet espace de partage appelé à être également partagé par de non raphaëlois...!
Chers amis, sans pour autant refaire l'histoire, nous sommes tous "nés quelque part". Je veux simplement vous dire que le Collège Saint Raphaël de Limeté d'où proviennent un certain nombre d'entre nous, a été le creuset de notre éducation à un moment clé de notre vie et qu'en conséquence quoi de plus normal que l'on puisse s'y référer.
Cependant, ce ne fut qu'une étape de notre vie et depuis nous avons eu d'autres rencontres, noué d'autres amitiés plus ou moins fortes, mais tout aussi importantes que nous drainons dans cet ancien creuset que fut Saint Raphaël. Et cela n'empêche nullement que nous nous y retrouvions tous et cultivions la convivialité légendaire qui nous caractérise tous, que l'on ait usé ses culottes et connu ses premiers amours à Saint Raphaël ou ailleurs!
C'est ici désormais que je souhaiterai voir se développer des échanges plus constructifs entre nous tous, pour un avenir meilleur et partagé, puisque tous autant que nous sommes et qu'on le veuille ou non, nous avons néanmoins un dénominateur commun: l'amour des autres; chacun l'exprimant à sa façon, d'ailleurs pas toujours la plus appropriée: la frime, la surenchère pour les uns, l'honnêteté, la sincérité pour les autres, la pugnacité, etc.
Mais au final, cela importe peu; ce qui compte, c'est que nous sachions demeurer unis comme les doigts d'une main en gardant en tête cette maxime bangala que "lisapi lyoko esukolaka nzoto té!".
Puisse cet espace de vie nous servir de café de la place où nous pourrons tous nous retrouver avec les nouvelles du jour des uns et des autres à travers le monde, et où nous rejoindrons d'autres amis nouveaux et anciens, d'autres horizons pour que la vie, notre vie soit un perpétuel renouvellement d'émerveillements.
BONNE et HEUREUSE ANNEE 2008.
Etumba BILE
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